Pour la quatrième année, l’espace André Trannoy du siège APF à Paris, accueillait la remise des prix du concours des cordées, en partenariat avec l’association Regards.

A chaque annonce du palmarès nous découvrons de nouveaux visages, de nouveaux coeurs venus battre, en cette journée au même rythme que le notre

Et comme chaque année, une remise des prix empreinte de joie, de rires... et d'émotions.

Déjà la veille, un immense plaisir lorsque nous recevons de la famille Louis, une brassée de mimosa... Le mimosa, premières fleurs de fin d'hiver et dont la fleur symbolise la magnificence, l'élégance, la simplicité, la tendresse et l'amitié.

Une première émotion lorsque Marie-Agnès Brossard, organisatrice de ce concours, accueille chacun et ouvre la remise des prix.
Emotion lorsque nous apprenons que Jean-Marie Barbier, président de l'APF est présent en ce samedi et qu'il a, pour les cordées, sacrifié sa seule matinée de samedi, de libre du mois... Un geste d'amitié et de reconnaissance pour ce que sont les cordées et la place qu'elles occupent au sein de notre association.
Merci Monsieur le Président.

Emotion aussi lorsque chaque lauréat s'approche pour recveoir son prix. Que dire alors lorsque Catherine Louis s'approche et que ses 4 enfants la suive... La gorge se noue, les yeux s'humidifie de bonheur, de joie... de voir ces p'tits bouts si fière de leur maman...
Des amours d'enfants qui nous ont donné des dessins, des sourires et qui lors du repas ont bien aidé l'équipe de service... Oui rien que pour eux, ils auraient mérité un diplôme spécial.

Emotion encore et toujours tout au long de cette remise des prix... Chaque lauréat ou représentant des lauréats avaient sa particularité, son sourire, son coeur  et partageait intensémenet avec tous.

Chaque seconde, chaque sourire de cette remise des prix restera gravé en nous et portera la semence de l'amitié.
Un grand merci à Nicolas Mérille, Martine Gabrillargues, Noëlle Pirony et à tous ceux qui ont oeuvrés en coulisse pour que cette journée soit une vraie réussite.